in Ph. Fleury, Agriculture Biologique et environnement
Des enjeux convergents. Educagri-ACTA, Dijon-Paris, 2011, pp. 32 + 157
Les deux tableaux ci-dessus résument et illustrent l’impact positif de l’agriculture biologique sur l’environnement et la biodiversité, comparée à l’impact de l’agriculture conventionnelle.
L’AB conserve mieux la fertilité des sols, la qualité de l’eau (pas d’utilisation d’engrais et de produits de synthèse). L’AB favorise également la biodiversité de la flore et de la faune. Une étude de 2005 (Bentgsson) montre que la richesse supérieure en espèces animales et végétales de l’AB peut être évaluée à 30%. Cette richesse s’explique par la plus grande diversité des paysages , par les pratiques propres au « cahier des charges » de l’AB (pas de pesticides ni d’engrais chimiques de synthèse, diversité des cultures et élevages), mais aussi parce qu’on y trouve plus d’éléments semi-naturels (haies, talus, fossés, bois), lieux de vie de nombreuses espèces.
De même, l’AB émet moins de gaz à effet de serre ; ainsi on estime que les émissions de CO2 sont inférieures de 48 à 66% par rapport aux exploitations conventionnelles.
D'après Philippe Fleury, Agriculture biologique et environnements - des enjeux convergents. Educagri, ACTA, Dijon-Paris, 2011, pp. 31-34
L’AB conserve mieux la fertilité des sols, la qualité de l’eau (pas d’utilisation d’engrais et de produits de synthèse). L’AB favorise également la biodiversité de la flore et de la faune. Une étude de 2005 (Bentgsson) montre que la richesse supérieure en espèces animales et végétales de l’AB peut être évaluée à 30%. Cette richesse s’explique par la plus grande diversité des paysages , par les pratiques propres au « cahier des charges » de l’AB (pas de pesticides ni d’engrais chimiques de synthèse, diversité des cultures et élevages), mais aussi parce qu’on y trouve plus d’éléments semi-naturels (haies, talus, fossés, bois), lieux de vie de nombreuses espèces.
De même, l’AB émet moins de gaz à effet de serre ; ainsi on estime que les émissions de CO2 sont inférieures de 48 à 66% par rapport aux exploitations conventionnelles.
D'après Philippe Fleury, Agriculture biologique et environnements - des enjeux convergents. Educagri, ACTA, Dijon-Paris, 2011, pp. 31-34
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